New York. C'est plus de 8 millions d'habitants. C'est le rassemblement de 5 quartiers: Manhattan, Brooklyn, Bronx, Queens et Staten Island. Le tout concentré sur un peu moins de 800 km2. Mais surtout, c'est l'une des villes les plus excitantes au monde. C'est le Brooklyn bridge, le Chrysler building, Central park, la Statue de la Liberté, Times Square ou encore les taxis jaunes. C'est un condensé de diverses cultures, le théâtre de centaines d'événements, l'un des lieux de rendez-vous les plus importants de la mode. C'est une atmosphère unique dans laquelle la vie suit un rythme éfréné. C'est également le décor de tant de films et de séries télé. Il suffit de penser à "Le diable s'habille en Prada" ou "Sex and the city", mes oeuvres fictives préférées. Et voilà qu'aujourd'hui New York est mise en scène dans "Damages", série télé sur laquelle je suis aboutie grâce à Aline. Pas étonnant dès lors que je ressente une telle attraction pour cette ville. Car New York est bien plus que le simple décor de ces fictions. Elle en fait partie intégrante car aucun endroit au monde ne peut égaler avec 'the big apple'.
Mais plutôt que de regretter de vivre dans le petit pays qu'est la Belgique, je profite de la vie. Car avec les bonnes personnes, on peut se sentir bien n'importe où. Parmi celles-ci, il y a Emilie, celle qui me fait rire. Après 4 ans d'amitié, le mot "gêne" nous est devenu parfaitement étranger. Les soirées passées avec elles sont toujours parsemées d'éclats de rire, comme samedi dernier, lorsque l'on a découvert sur le site de Rayban un service permettant d'essayer des paires de lunettes à l'aide de la webcam. Ou alors mardi, lorsqu'après avoir traîné sur le net, on a regardé un film jusque tard dans la nuit. Et puis il y a Aline, Abir et Ayina, celles que je vois tous les jours lors des cours, mais également en dehors de ceux-ci. Mercredi soir, on a été manger au WOKE pour ensuite aller boire un thé dans un autre endroit. Vers 19h20, on s'est levés pour aller acheter un grand paquet de chips avant de se rendre à la revue ESPO, une pièce de théâtre interprétée par des étudiants où sont caricaturés certains professeurs emblématiques. Dommage qu'Aline n'aie pas pu venir avec nous, on a passé un bon moment. Si ce n'est qu'ils ont voulu tirer le plaisir en longueur.
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