jeudi 11 août 2011

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Initialement publié le vendredi 21 août 2009

Fini les vacances à plein temps, depuis lundi je suis cloué plusieurs heures par jour à l'une des caisses du Delhaize de Wavre. Puisqu'il s'agit du troisième été à la suite que j'y travaille, je me situe en terrain connu et aucun problème ne se pose. Les seules sources de problème sont les clients eux-mêmes, mais jusqu'à présent je suis resté relativement épargné de personnes de mauvaise humeur, méfiant parce que le caissier est étudiant, ou encore cherchant à tout prix à épargner jusqu'au dernier euro cent. J'ignore ce qui me le permet mais je parviens à rester souriant toute la journée (jusqu'à en avoir des crampes à la mâchoire le premier jour!), au grand plaisir de certains clients. Peut-être le fait d'être entouré d'autres étudiants, nouveaux ou connus, y est pour quelque chose. Dans tous les cas, il est préférable que je conserve cet enthousiasme puisque j'ai été engagé pour quatre semaines. Avec mon envie terrible d'un Blackberry et un nouveau kot à décorer, l'argent ainsi récolté ne sera certainement pas thésaurisé (oulha, l'économiste sort les mots compliqués)!
Ceci dit, je ne travaille que cinq jours par semaine, ce qui me laisse le dimanche et un jour de repos. Cette semaine celui-ci est tombé mercredi. Et j'en ai profité pour voir Abir et Aline. Dans le courant de l'après-midi j'ai rejoint Abir à Bruxelles et nous nous sommes rendus à un domaine pourvu d'une piscine. Car oui, mercredi est le jour où le mercure a atteint quelques 30 degrés, température à laquelle nous ne sommes pas habitués dans ce petit pays. Malheureusement nous n'étions pas les seuls à avoir cherché rafraîchissement et devant une telle masse nous avons préféré rentrer. Nous avons fait quelques courses et puis nous sommes allés chercher Aline à la gare. Nous avons mangé un délicieux repas préparé par notre merveilleuse hôtesse Abir, pour ensuite aller fumer une chicha (les deux accros bien sûr, pas besoin de ça moi). Une fois rentrés, la conversation s'est poursuivie jusque tard, tard, tard.

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