Initialement publié le vendredi 12 février 2010
Seconde semaine de cours terminée, une semaine qui signe davantage le recommencement des choses sérieuses. Un horaire qui se remplit au fur et à mesure, des perspectives de travaux qui s'établissent, des cours qui commencent au-delà des simples introductions. Viens s'ajouter à cela les retrouvailles avec Abir, des soirées remplies, et voilà cinq jours qui passent en un instant incroyablement bref.
Lundi soir, après le cours de "Questions de sciences religieuses", j'ai pris le train en direction de Rixensart pour une heure d'aide pédagogique à cet élève auquel j'ai été assigné en temps que coach. Une fois rentré, j'ai passé la soirée à chatter avec D., première fois depuis son retour la veille. Bon nombre de choses à se raconter, un aperçu de quelques photos, et la planification d'un dîner ensemble le lendemain.
Mardi soir donc, nous avons poursuivi les prises de nouvelles autour d'un repas italien. Principalement son fameux périple asiatique, mais également les quelques événements de mon côté. Nous sommes ensuite rentrés au kot pour écouter de la musique de sa gigantesque bibliothèque contenue sur son disque dur. Une soirée qui s'est terminée trop tôt en raison de sa fatigue, mais durant laquelle j'aurai pu, ne fut-ce que brièvement, me sentir en sécurité à ses côtés.
Mercredi soir, sortie avec les trois A. Pas les habituels, mais bien Abir, Aline et son copain Angelo. Le repas du restaurant universitaire ne fut peut-être pas grandiose, mais l'ambiance l'était et c'est bien ça qui compte. Etant donné l'état désastreux des routes suite aux tombées de neige, Abir n'a pas tardé à rentrer alors que, pour ma part, j'ai suivi Aline et Angelo jusqu'au kot de ce dernier. J'ai ainsi pu constater qu'Aline n'exagérait pas lorsqu'elle expliquait combien il était beau. Il devait être 21h lorsque je suis rentré frigorifié et recouvert de neige.
Jeudi soir, deuxième séance d'aide pédagogique de la semaine, suivie d'un souper avec les membres de l'AIESEC, plus précisément ceux de la section communication dont je fais partie. Des personnes fort sympathiques mais avec lesquelles je ne partage que trop peu d'affinités pour véritablement profiter de cette soirée.
Vendredi enfin, une journée remplie de cours, de 8h30 à 16h, amplifiant encore davantage la fatigue accumulée au cours de la semaine. Sur le temps de midi, Aline, Abir et moi avons mangé notre sandwich ensemble au centre commercial, à l'abri du froid. C'est là que j'ai aperçu ce qui m'est apparu comme le fantôme d'une vie antérieure, F., travaillant dans un magasin de vêtements.
Lundi soir, après le cours de "Questions de sciences religieuses", j'ai pris le train en direction de Rixensart pour une heure d'aide pédagogique à cet élève auquel j'ai été assigné en temps que coach. Une fois rentré, j'ai passé la soirée à chatter avec D., première fois depuis son retour la veille. Bon nombre de choses à se raconter, un aperçu de quelques photos, et la planification d'un dîner ensemble le lendemain.
Mardi soir donc, nous avons poursuivi les prises de nouvelles autour d'un repas italien. Principalement son fameux périple asiatique, mais également les quelques événements de mon côté. Nous sommes ensuite rentrés au kot pour écouter de la musique de sa gigantesque bibliothèque contenue sur son disque dur. Une soirée qui s'est terminée trop tôt en raison de sa fatigue, mais durant laquelle j'aurai pu, ne fut-ce que brièvement, me sentir en sécurité à ses côtés.
Mercredi soir, sortie avec les trois A. Pas les habituels, mais bien Abir, Aline et son copain Angelo. Le repas du restaurant universitaire ne fut peut-être pas grandiose, mais l'ambiance l'était et c'est bien ça qui compte. Etant donné l'état désastreux des routes suite aux tombées de neige, Abir n'a pas tardé à rentrer alors que, pour ma part, j'ai suivi Aline et Angelo jusqu'au kot de ce dernier. J'ai ainsi pu constater qu'Aline n'exagérait pas lorsqu'elle expliquait combien il était beau. Il devait être 21h lorsque je suis rentré frigorifié et recouvert de neige.
Jeudi soir, deuxième séance d'aide pédagogique de la semaine, suivie d'un souper avec les membres de l'AIESEC, plus précisément ceux de la section communication dont je fais partie. Des personnes fort sympathiques mais avec lesquelles je ne partage que trop peu d'affinités pour véritablement profiter de cette soirée.
Vendredi enfin, une journée remplie de cours, de 8h30 à 16h, amplifiant encore davantage la fatigue accumulée au cours de la semaine. Sur le temps de midi, Aline, Abir et moi avons mangé notre sandwich ensemble au centre commercial, à l'abri du froid. C'est là que j'ai aperçu ce qui m'est apparu comme le fantôme d'une vie antérieure, F., travaillant dans un magasin de vêtements.
... Des gens entrent dans notre vie, d'autres en sortent.
Au final, que très peu ne sont là pour rester.
Mais, difficile de savoir desquels il s'agit.
Seul le cours de la vie ne peut nous l'apprendre.
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